ChatGPT : L’assistant virtuel qui veut bien faire (parfois un peu trop)

ChatGPT : L’assistant virtuel qui veut bien faire (parfois un peu trop)

Quand on parle de rédaction web aujourd’hui, il est difficile de passer à côté des outils d’intelligence artificielle, et ChatGPT est l’un des plus populaires. Mais avant de te jeter dessus pour écrire ton prochain article, il faut savoir comment il fonctionne, pourquoi il peut te sauver la mise… et pourquoi il peut aussi t’envoyer dans le décor si tu ne fais pas attention.

Allez, on se lance !


Qu’est-ce que ChatGPT, vraiment ?

ChatGPT, c’est un agent conversationnel (oui, ça sonne classe) basé sur une technologie appelée GPT, conçue par OpenAI. En gros, c’est un robot capable de te parler et de te répondre comme un humain. Mais contrairement à ton meilleur pote, ChatGPT ne se fatigue jamais, il peut écrire sur tous les sujets, et il ne se plaint pas (gros avantage).

Son but ? T’aider à écrire du contenu, répondre à des questions, proposer des idées. Il a bouffé des tonnes de données textuelles sur Internet et s’en sert pour générer des phrases qui semblent bien coller à ce que tu lui demandes. Un peu comme s’il fouillait dans une bibliothèque géante et sortait les bouquins qui lui paraissent les plus pertinents.

Mais attention, il y a un petit hic. On y reviendra…


Comment ça marche, exactement ?

1. Le prompt : tout commence par toi !

Le secret de ChatGPT, c’est le fameux prompt. En gros, c’est toi qui lui dis ce que tu veux. Par exemple, tu lui demandes : « Écris-moi un article sur les dernières tendances SEO » et bim ! Il te sort un texte bien structuré, avec intro, développement et conclusion.

Ce qu’il fait ? Il analyse ton prompt, cherche dans son immense base de données tout ce qui pourrait correspondre, et te pond une réponse cohérente (ou presque).

2. Génération de texte : l’art de la prédiction

ChatGPT ne réfléchit pas comme nous. Il ne « pense » pas vraiment. Il fait des prédictions. À partir des mots que tu lui donnes, il va essayer de deviner ce qui suit, un peu comme quand ton téléphone te propose le mot suivant dans un texto. Sauf que lui, il le fait pour des paragraphes entiers.

Et c’est là qu’il faut faire attention. ChatGPT n’a pas de conscience ni de moralité : il veut juste que la discussion roule bien. Donc, si tu lui dis n’importe quoi, il te répondra probablement dans le même sens, pour garder une certaine logique dans l’échange.


Pourquoi c’est génial pour un rédacteur web ?

1. Gain de temps monumental

Imagine : tu dois écrire un article de blog sur un sujet que tu connais à peine. Hop, tu demandes à ChatGPT et il te sort une première ébauche en quelques secondes. Ça te permet d’avoir une base solide et de gagner un temps fou. Ensuite, tu ajustes, tu corriges, tu mets ta patte, et le tour est joué.

2. Booster de créativité

Si tu as un petit coup de mou créatif, ChatGPT peut te donner des idées nouvelles, proposer des titres accrocheurs ou même suggérer des structures d’articles auxquelles tu n’avais pas pensé. C’est comme un brainstorming sans fin, et sans jugements.

3. Polyvalence

ChatGPT peut écrire sur (presque) n’importe quel sujet : de la tech au lifestyle, en passant par les guides pratiques ou les textes promotionnels. Tu peux adapter le ton et le style à ta guise.


Le côté obscur de ChatGPT

Bien sûr, ce n’est pas que du soleil et des arcs-en-ciel avec ChatGPT. Il a des limites, et certaines peuvent être carrément piégeuses.

1. L’affabulation : attention aux fausses vérités

ChatGPT, c’est un peu le pote qui, quand il ne connaît pas la réponse, préfère inventer des trucs plutôt que d’avouer qu’il ne sait pas. Parfois, il affabule totalement. Par exemple, si tu lui demandes de justifier une idée fausse, il va essayer de te conforter dans ton erreur en trouvant des arguments bidon, juste parce que ça lui semble logique dans la conversation.

Son but, c’est que la discussion se passe bien. Donc si tu lui dis que « les éléphants volent », il peut chercher à te convaincre avec des exemples fantaisistes. Et là, tu te retrouves avec des infos qui paraissent crédibles, mais qui sont complètement fausses.

2. Compréhension limitée des sujets complexes

Même s’il a l’air super intelligent, ChatGPT n’est pas un expert. Sur des sujets techniques ou pointus, il peut donner des réponses qui semblent correctes, mais qui sont en réalité des raccourcis trompeurs. Par exemple, si tu lui demandes des détails pointus sur une technologie très récente ou un domaine scientifique complexe, il peut inventer des explications qui sonnent juste, mais qui sont erronées.

Moralité : pour les sujets complexes, rien ne vaut un vrai expert humain.

3. Les biais dans les réponses : un héritage problématique

ChatGPT a été entraîné sur des tonnes de textes issus d’Internet, mais Internet, c’est loin d’être un monde parfait. Beaucoup de textes disponibles sont produits par des hommes, et avec ça viennent souvent des biais sexistes, racistes, ou condescendants envers certaines minorités.

Par exemple, si tu lui demandes de décrire le « profil idéal » pour un métier, il pourrait, sans le vouloir, amplifier les stéréotypes en se basant sur les données qu’il a apprises. Ça veut dire qu’il peut te sortir des réponses biaisées, qui reflètent les injustices et préjugés qui existent déjà dans les textes qu’il a ingurgités.


Comment l’utiliser sans se planter ?

Pour éviter de tomber dans les pièges de ChatGPT, voici quelques bonnes pratiques :

  • Vérifie toujours les infos : Ne prends jamais pour argent comptant ce qu’il te dit, surtout si ça concerne des faits ou des chiffres précis.
  • Utilise-le comme assistant, pas comme expert. C’est parfait pour générer des idées ou une première ébauche, mais pas pour remplacer ta réflexion ou tes recherches.
  • Sois critique sur les biais : Relis attentivement les réponses pour t’assurer qu’elles ne reproduisent pas de stéréotypes ou de préjugés.

Conclusion : Un allié (presque) parfait pour le rédacteur web

En résumé, ChatGPT est un outil hyper pratique qui peut t’aider à gagner du temps, booster ta créativité, et t’accompagner dans la rédaction de nombreux contenus. Mais il reste une machine : il faut l’utiliser avec discernement et surtout avec un bon sens critique.

N’oublie jamais que c’est toi le boss : c’est à toi de vérifier, de peaufiner et de faire en sorte que ton contenu soit crédible, pertinent et exempt de tout biais.

Bref, ChatGPT, c’est un peu comme une voiture avec un super GPS : il te guide, mais c’est toi qui tiens le volant !

Travailler dans le Cloud

Travailler dans le Cloud

Travailler dans le cloud est certainement la meilleure chose à faire si vous avez besoin de partager des documents avec vos collègues mais aussi pour sécuriser vos fichiers.

 

Quelle est la meilleure solution ?

Sans le savoir, vous avez probablement déjà une solution fonctionnelle sur votre ordinateur, comme :

  • Adobe Créative Cloud – Pour les créatifs qui ont déjà un abonnement au service Adobe (100 Giga dans votre abonnement) ;
  • Google Drive – Si vous avez déjà un compte chez Google (ou simplement une adresse mail) :
  • Microsoft OneDrive – Si vous avez un abonnement office 360 (1To dans l’abonnement Microsoft 365) ;
  • Apple iCloud – Si vous avez un Mac.

Si vous n’avez aucune de ces solutions mises en place, il faudra effectivement souscrire un abonnement à l’une d’entre elles ou aupres d’un autre fournisseur de données spécialisé dans le cloud, comme OVH ou Dropbox.

Si vous consommez peu, la version gratuite vous suffira :

  • 15 Giga chez Google (partagés avec gmail et photos)
  • 05 Giga chez iCloud
  • 02 Giga chez Dropbox

Mais il faudra probablement passer rapidement à une version pro, comptez alors une centaine d’euros par an. Vous pourrez alors profiter d’1To chez Dropbox et de 200 Giga chez iCloud et 100 Giga chez Google.

Si aucune des solutions proposées ne vous convient, et que vous ne souhaitez pas confier vos précieux fichiers a l’une de ces sociétés.

Nous pouvons mettre en place pour vous, une solution open source comme Next Cloud ou ownCloud sur l’un de nos serveurs. Cela ne sera avantageux financièrement que si vous avec un nombre minimum d’utilisateurs ayant besoin du service.

Les outils de travail collaboratifs

Les outils de travail collaboratifs

Nous vivons tous une période de bouleversement dans notre manière de travailler et de collaborer. Ce télétravail forcé peut être l’occasion de s’initier aux différents outils qui s’offrent à nous et qui permettent un télétravail serein et organisé.

Les outils collaboratifs ne remplaceront jamais les échanges humains et le café du matin, mais il est peut etre temps de prendre un nouveau tournant dans nos habitudes de travail…pour ne plus être pris au dépourvu !

Il existe plusieurs logiciels et interfaces de partage de documents qui permettent aux différents intervenants du projet, de modifier les documents déjà existants ou d’en ajouter d’autres, au fur et à mesure de l’avancée du projet.

Voici une présentation de Trello et Slack, les deux outils les plus utilisés par les agences web et nos conseils pour les utiliser efficacement.

Trello

 

Trello est une application qui permet de réaliser la gestion de votre projet depuis une interface web ou via une application dédiée.

Chaque projet est relié à un tableau bien distinct dans l’application.

Chaque tableau est composé de listes qui vont contenir des cartes. Chaque carte correspond a une tache/fonctionnalité affectée à un ou plusieurs membres de l’équipe projet.

Les cartes ont les caractéristiques suivantes :

  • Titre
  • Description
  • Membres
  • Date de limite de réalisation
  • Pièce jointes
  • Étiquettes (Etat / couleurs)
  • Check List
  • Pièces jointes
  • Discussions

Les cartes sont affectées aux responsables de la tâche et visibles par tous les utilisateurs.

L’avantage de Trello est d’être entièrement modulable et personnalisable, il peut s’adapter à n’importe quel projet. Ce n’est pas à votre organisation de projet de s’adapter au logiciel, mais c’est à vous de configurer Trello pour l’adapter à votre méthode de travail.

L’application est disponible en version gratuite avec les fonctionnalités essentielles. Il vous faudra prendre un abonnement pour bénéficier des fonctionalités avancées ou créer un nombre illimité de tableaux.

Slack

Slack est une plateforme de travail collaboratif, qui donne la possibilité de regrouper les professeurs et les stagiaires, pour permettre de réaliser un enseignement à distance.

 

Utilisation des chaînes

La chaîne #générale doit être utilisée pour les messages importants et adressés à tous.

Il faut absolument créer une chaîne par projet ou par sujet, sinon votre chaîne générale sera rapidement illisible.

Nous conseillons la création d’une chaîne #lacafet pour les discussions qui ne concernent pas le travail (potins et échanges de gifs rigolos).

Il est également possible de créer des chaînes privées accessibles uniquement à ceux qui travaillent sur certains projets.

Il faut rejoindre ces chaînes en cliquant sur « Ajouter une chaîne » (et non sur le + qui sert à créer une chaîne).

Les bonnes pratiques

  • Utilisation des liens réponses pour diminuer le nombre de messages dans la chaîne (utiliser « démarrer un fil ») ;
  • Demandez aux utilisateurs d’utiliser leurs photos comme image de profil ;
  • Lorsque vous vous adressez à quelqu’un en particulier citer son nom en commençant par @ ;
  • Ajoutez des Smiley (ajouter une réaction) si vous validez plutôt que de répondre par un message distinct qui pollue inutilement ;
  • Modifiez votre message pour ajouter ou corriger plutôt que d’en créer un nouveau ;
  • Si votre message n’intéresse pas tout le monde, adressez-vous directement à un utilisateur en utilisant les messages directs ;
  • Pensez à installer Slack sur votre mobile. Mais désactivez les notifications en dehors des heures de travail ;
  • Pour donner une partie cours magistral, organiser une réunion ou faire un point en tête à tête, utilisez Zoom ou Skype qui permet la prise en main de l’écran ;
  • Pour retrouver un message facilement, ajoutez-le à vos favoris.
  • Pour donner de la visibilité à un message important épinglez-le sur la chaîne.
Comment fonctionne un serveur ?

Comment fonctionne un serveur ?

Qu’est-ce qu’un serveur ?

Un serveur est un ordinateur permettant de fournir des services à travers Internet. Il est possible de configurer un ordinateur connecté à internet comme serveur, apres lui avoir installé les bons logiciels. Par exemple, les logiciels nécéssaires au fonctionnement d’un CMS de type WordPress sont :

  • Apache : c’est le serveur web qui vous envoie les pages demandées. Lorsque la page demandée est en HTML, Apache vous la renvoie directement sans passer par PHP ;
  • PHP : il communique avec Apache et permet de traiter les pages codées en PHP. Il renvoie les pages PHP traitées à Apache qui les renvoie à l’internaute ;
  • MySQL : le gestionnaire de la base de données (ne pas confondre avec SQL, le langage).

Pour votre plus grand plaisir, vous avez la possibilité d’installer tous ces logiciels ensemble via les packs suivants :

  • LAMP signifie : Linux, Apache, MySQL, PHP.
  • WAMP signifie : Windows, Apache, MySQL, PHP.
  • MAMP signifie : Macintosh, Apache, MySQL, PHP.

 

Quelques notions importantes.

Lorsque vous souhaitez voir une page, votre demande est reçue par le logiciel Apache installé sur le serveur. Deux éventualités sont alors possibles :

  • soit la page est disponible en HTML et vous est transmis directement ;
  • soit la page HTML doit être générée (par exemple pour un site WordPress ou un site eCommerce). Dans notre exemple, le moteur PHP va charger le modèle de la page en utilisant des données stockées dans une base de données MySQL pour créer la page demandée en HTML, qui va ensuite la fournir à Apache, pour être envoyée à l’internaute.

Enfin, sachez que si la page demandée n’existe pas, vous tomberez automatiquement sur une erreur 404. Si le serveur ne parvient pas à générer la page, c’est qu’il y a une erreur et il ne manquera pas de vous le notifier par une jolie page 403.

Quelle stratégie de sauvegarde pour vos données ?

Quelle stratégie de sauvegarde pour vos données ?

Il y a des domaines où la gestion des données est plus sensible que d’autres, comme par exemple le métier de photographe ou de graphiste.

Dans la vie, il y a deux types d’individus :

  • Ceux qui ont déjà perdu leurs données. Ils sont depuis sous tranquillisants.
  • Ceux qui vont perdre leurs données. L’insouciance n’est pas à prendre à la légère.

Un disque dur n’est pas éternel

L’espérance de vie d’un disque dur peut varier de 2 mois, 3 ans ou plusieurs années. Il est possible que votre matériel vous lâche en moins de deux mois, ou au bout de trois ans. Aussi, si vous passez le cap des deux mois vous êtes à peu près sûr d’être tranquille pendant les 3 années qui suivent.

En moyenne, un disque dur coûte 70€ pour 2To. Cela correspond à environ 1h de travail (mais des dizaines de milliers d’euros). Un disque dur est garanti 2 ans comme tout appareil électronique. Attention, cette garantie ne couvre que le support, elle ne garantit pas le contenu du disque.

Néanmoins, il ne faut pas perdre de vue qu’un disque dur, comme tout matériel électronique, cessera de fonctionner à un certain moment. Aucun disque dur n’est viable plusieurs décennies.

Mettre en place une stratégie de sauvegarde

La mise en place d’une stratégie de sauvegarde efficace est primordiale. Rappelons-le, un disque dur est un matériel avec des pièces en mouvement, il est donc important de le manier avec précaution (surtout s’il est en train de fonctionner).

Une stratégie de sauvegarde protège de deux choses :

  • La suppression involontaire d’un fichier ;
  • La perte, le vol ou la destruction d’un support.

Il est nécessaire dans nos métiers d’effectuer une double sauvegarde. Personne n’est à l’abri d’un crash disque.

Outil de sauvegarde automatique

Il s’agit de créer des versions de chacun des fichiers sauvegardés. Une copie automatique des fichiers est effectuée sur un disque dur de backup qui doit avoir une capacité jusqu’à 2 fois supérieure à la taille des données à sauvegarder.

Sur Mac il faut configurer votre Time Machine. Sur PC, il existe de nombreux logiciels dont certains sont fournis sans frais notamment lorsque l’on achète un disque dur de la marque Western Digital.

Sauvegarde sur le Cloud ou un serveur dédié

Les projets en cours doivent être présents sur le Cloud, cela permet de prévenir une potentielle destruction ou perte du matériel de sauvegarde utilisé.

Il en existe plusieurs :

  • Dropbox ;
  • Google Drive ;
  • One Drive ;
  • Son propre serveur comme OwnCloud.

L’avantage de sauvegarder votre travail sur le cloud, est que vous pouvez y accéder depuis n’importe quel ordinateur.

Il est tout de même nécessaire d’avoir une connexion fiable, avec un débit suffisant, pour pouvoir synchroniser les fichiers à chaque modification.

Dans le cas où vous n’auriez pas encore de disque dur ou de compte cloud, vous devez impérativement et quotidiennement sauvegarder votre travail sur une clé USB. Bien sûr, cette clé ne doit pas être rangée au même endroit que l’ordinateur.

Pour une protection solide, il faut mettre en place les deux stratégies en parallèle. Le panel de solutions et d’outils pour gérer et sauvegarder vos données étant suffisamment large pour éviter tout accident malencontreux, la perte de vos données n’est donc pas une excuse valable pour justifier d’un travail rendu hors délai.

Le moteur de rendu, votre partenaire testeur.

Le moteur de rendu, votre partenaire testeur.

Pour le créateur de site internet, il est obligatoire de procéder à des tests sur tous les navigateurs existants. 

Le rôle d’un navigateur est d’afficher le site web à l’internaute. Or, le site est constitué de pages au format HTML, il faut donc que votre navigateur interprête ce langage en fonction de la norme, pour en créer une version visuelle compréhensible de l’internaute.

Pour un développeur, c’est un peu le casse tête sachant qu’il existe une centaine de navigateurs. Fichtre diantre ! Ça fait beaucoup de travail non ?

Fort heureusement, la plus part des navigateurs utilisent le même moteur de rendu. Mais qu’est-ce donc ?  

Un moteur de rendu HTML est un composant du navigateur qui permet à l’utilisateur de visualiser la page et les ressources qui y sont associées.

Aujourd’hui, il en existe trois, mais ils ne seront bientôt plus que deux. En effet, Microsoft utilisait jusqu’alors Trident pour Internet Explorer, puis dernièrement Edge HTML sur son navigateur Edge. Aux dernières nouvelles, ils décidaient d’abandonner leur moteur de rendu « maison » pour utiliser celui développé par Google, Blink

Deux navigateurs différents peuvent utiliser le même moteur de rendu HTML, dans ce cas, un site web aura le même rendu graphique avec ces deux navigateurs. Or, ce qui intéresse la personne qui teste le site, c’est bien l’affichage du site en question.

Pour la petite histoire

1990 : Tim Berners-Lee invente le HTML et crée le premier navigateur nommé, WorldWideWeb. Lorsque le www devient le terme utilisé pour surfer sur le web, il est renommé Nexus ;

1992 : Le centre de recherche NCSA crée le premier navigateur à pouvoir afficher une image NCSA Mosaic ;

1995 : Microsoft sort Internet Explorer et Netscape Netscape Navigator ;

2002 : La Fondation Mozilla sort le navigateur open source Mozilla Firefox ;

2008 : Google sort son propre navigateur Google Chrome ;

2018 : Microsoft renomme Internet Explorer pour Edge et abandonne son moteur de rendu pour adopter celui de Google.

Quantum (ex GECKO)

Développé par la Fondation Mozilla

– Firefox (Linux, Windows, Mac)

– Firefox (Android)

BLINK (fork de WebKit)

Développé par Google

– Chromium / Chrome (Linux, Windows, Mac)

– Chrome (Android)

– Opera (Linux, Windows, Mac)

– Opera Mini (Android, Windows Mobile)

WebKit (fork de KHTML)

Développé par Apple

– Safari (Mac)

– Safari (iOS) Chrome (iOS)

– Navigateur natif (Android)

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