Avant de l’utiliser pour écrire, il faut savoir à quoi on parle.
ChatGPT n’est pas un rédacteur, ni un moteur de recherche, ni un humain.
C’est un modèle de langage : un programme qui prédit mot après mot ce qui paraît le plus “plausible” dans une phrase.
Autrement dit, il ne “sait” rien.
Il imite le langage, comme un perroquet ultra-cultivé qui a lu tout Internet, Wikipédia et des milliers de livres… mais sans jamais comprendre leur sens.
Si tu lui écris :
« Alan Turing est connu pour avoir… »
Il répondra cassé le code Enigma, non parce qu’il “sait” qui était Turing ni ce qu’était Enigma, mais simplement parce que ces mots apparaissent souvent ensemble dans les textes de son entraînement.
2. GPT, la machine à mots derrière ChatGPT
GPT signifie Generative Pretrained Transformer.
C’est le moteur qui alimente ChatGPT.
Sa tâche d’apprentissage est toute bête :
prédire le mot suivant.
Et il fait ça des milliards de fois, sur des textes de toutes sortes :
articles, romans, forums, code informatique, etc.
Cette méthode s’appelle l’apprentissage auto-supervisé, car il n’a pas besoin d’humains pour corriger ses réponses : chaque phrase contient déjà sa “bonne suite”.
Résultat : il devient excellent pour écrire des phrases qui sonnent juste, mais pas forcément vraies.
3. ChatGPT, c’est GPT + des règles sociales
Le GPT “brut” n’était qu’une machine à compléter des textes.
Pour en faire un assistant de conversation, OpenAI lui a ajouté trois couches supplémentaires :
Un “pré-prompt” invisible : une introduction qui oriente son comportement (par exemple : “Tu es un assistant bienveillant et utile.”)
Du fine-tuning : on lui montre des exemples de bonnes réponses rédigées par des humains.
Du RLHF (Apprentissage par renforcement avec feedback humain) : des testeurs humains comparent plusieurs réponses et indiquent lesquelles sont préférables. ChatGPT apprend à plaire à leurs jugements.
Grâce à cela, le modèle devient coopératif, poli, et apparemment intelligent.
Mais il ne comprend toujours pas ce qu’il dit.
4. Ce qu’un rédacteur web peut (et doit) en faire
ChatGPT est un outil redoutablement pratique pour les rédacteurs… à condition de savoir où s’arrête la magie.
✅ Ce qu’il fait bien :
Générer des plans d’articles ou des titres alternatifs.
Reformuler un texte pour le rendre plus fluide.
Aider à débloquer une page blanche.
Résumer un contenu long, ou proposer une structure SEO.
Donner une première version de texte à retravailler.
❌ Ce qu’il fait mal :
Vérifier la véracité d’une information.
Citer des sources fiables (il en invente souvent).
Produire une tonalité unique ou incarnée (il écrit “comme tout le monde”).
S’adapter à des données réelles (chiffres, études, interviews…).
Comprendre un angle éditorial complexe, comme une approche sensible ou politique.
Exemple concret :
si tu travailles sur prosopagnosie.fr, tu peux lui demander :
« Fais-moi un plan d’article sur les stratégies de compensation des personnes prosopagnosiques. »
Il te sortira quelque chose de propre, clair, SEO-friendly.
Mais il risque d’écrire des généralités vides :
“Les personnes atteintes de prosopagnosie peuvent utiliser la voix, la posture ou les vêtements pour reconnaître autrui.”
Ça paraît bien… sauf qu’il n’a lu aucun témoignage réel.
Un vrai rédacteur doit aller chercher les voix humaines, les nuances, les émotions.
5. Les LLM ne remplacent pas l’écriture, ils la révèlent
Utiliser ChatGPT ne te dispense pas de penser.
C’est un moteur de suggestion, pas un auteur.
Si tu copies-colles sans réécrire :
tu perds ta crédibilité,
tu passes à côté de ta singularité,
et ton texte sera vite repéré comme “plat”, typiquement IA.
Mais si tu t’en sers comme un assistant de réflexion, il devient un allié précieux :
tu gagnes du temps sur la structure,
tu explores d’autres formulations,
tu entraînes ton regard critique.
6. Les limites à garder en tête
Limite
Explication
Conséquence pour le rédacteur
Pas de véracité
Il produit du texte “plausible” mais pas vérifié
Toujours recouper les infos
Pas de sources réelles
Il invente des auteurs, des titres, des dates
Ne jamais citer ses références sans vérification
Pas de compréhension
Il ne “pense” pas le sens des phrases
À toi d’apporter l’angle et le ton
Pas de mémoire longue
Il oublie les échanges précédents
Tu dois contextualiser chaque demande
Biais culturels
Entraîné sur des textes du web, souvent anglophones
Attention aux stéréotypes et à la simplification
7. En résumé
ChatGPT ne sait rien, mais il écrit bien.
Toi, tu sais des choses, mais tu n’as pas toujours le temps d’écrire.
L’intelligence, c’est dans la rencontre des deux.
Utilise-le comme un couteau suisse, pas comme une machine à penser.
L’écriture reste ton espace d’expertise, d’interprétation et de sensibilité.
Quand on parle de rédaction web aujourd’hui, il est difficile de passer à côté des outils d’intelligence artificielle, et ChatGPT est l’un des plus populaires. Mais avant de te jeter dessus pour écrire ton prochain article, il faut savoir comment il fonctionne, pourquoi il peut te sauver la mise… et pourquoi il peut aussi t’envoyer dans le décor si tu ne fais pas attention.
Allez, on se lance !
Qu’est-ce que ChatGPT, vraiment ?
ChatGPT, c’est un agent conversationnel (oui, ça sonne classe) basé sur une technologie appelée GPT, conçue par OpenAI. En gros, c’est un robot capable de te parler et de te répondre comme un humain. Mais contrairement à ton meilleur pote, ChatGPT ne se fatigue jamais, il peut écrire sur tous les sujets, et il ne se plaint pas (gros avantage).
Son but ? T’aider à écrire du contenu, répondre à des questions, proposer des idées. Il a bouffé des tonnes de données textuelles sur Internet et s’en sert pour générer des phrases qui semblent bien coller à ce que tu lui demandes. Un peu comme s’il fouillait dans une bibliothèque géante et sortait les bouquins qui lui paraissent les plus pertinents.
Mais attention, il y a un petit hic. On y reviendra…
Comment ça marche, exactement ?
1. Le prompt : tout commence par toi !
Le secret de ChatGPT, c’est le fameux prompt. En gros, c’est toi qui lui dis ce que tu veux. Par exemple, tu lui demandes : « Écris-moi un article sur les dernières tendances SEO » et bim ! Il te sort un texte bien structuré, avec intro, développement et conclusion.
Ce qu’il fait ? Il analyse ton prompt, cherche dans son immense base de données tout ce qui pourrait correspondre, et te pond une réponse cohérente (ou presque).
2. Génération de texte : l’art de la prédiction
ChatGPT ne réfléchit pas comme nous. Il ne « pense » pas vraiment. Il fait des prédictions. À partir des mots que tu lui donnes, il va essayer de deviner ce qui suit, un peu comme quand ton téléphone te propose le mot suivant dans un texto. Sauf que lui, il le fait pour des paragraphes entiers.
Et c’est là qu’il faut faire attention. ChatGPT n’a pas de conscience ni de moralité : il veut juste que la discussion roule bien. Donc, si tu lui dis n’importe quoi, il te répondra probablement dans le même sens, pour garder une certaine logique dans l’échange.
Pourquoi c’est génial pour un rédacteur web ?
1. Gain de temps monumental
Imagine : tu dois écrire un article de blog sur un sujet que tu connais à peine. Hop, tu demandes à ChatGPT et il te sort une première ébauche en quelques secondes. Ça te permet d’avoir une base solide et de gagner un temps fou. Ensuite, tu ajustes, tu corriges, tu mets ta patte, et le tour est joué.
2. Booster de créativité
Si tu as un petit coup de mou créatif, ChatGPT peut te donner des idées nouvelles, proposer des titres accrocheurs ou même suggérer des structures d’articles auxquelles tu n’avais pas pensé. C’est comme un brainstorming sans fin, et sans jugements.
3. Polyvalence
ChatGPT peut écrire sur (presque) n’importe quel sujet : de la tech au lifestyle, en passant par les guides pratiques ou les textes promotionnels. Tu peux adapter le ton et le style à ta guise.
Le côté obscur de ChatGPT
Bien sûr, ce n’est pas que du soleil et des arcs-en-ciel avec ChatGPT. Il a des limites, et certaines peuvent être carrément piégeuses.
1. L’affabulation : attention aux fausses vérités
ChatGPT, c’est un peu le pote qui, quand il ne connaît pas la réponse, préfère inventer des trucs plutôt que d’avouer qu’il ne sait pas. Parfois, il affabule totalement. Par exemple, si tu lui demandes de justifier une idée fausse, il va essayer de te conforter dans ton erreur en trouvant des arguments bidon, juste parce que ça lui semble logique dans la conversation.
Son but, c’est que la discussion se passe bien. Donc si tu lui dis que « les éléphants volent », il peut chercher à te convaincre avec des exemples fantaisistes. Et là, tu te retrouves avec des infos qui paraissent crédibles, mais qui sont complètement fausses.
2. Compréhension limitée des sujets complexes
Même s’il a l’air super intelligent, ChatGPT n’est pas un expert. Sur des sujets techniques ou pointus, il peut donner des réponses qui semblent correctes, mais qui sont en réalité des raccourcis trompeurs. Par exemple, si tu lui demandes des détails pointus sur une technologie très récente ou un domaine scientifique complexe, il peut inventer des explications qui sonnent juste, mais qui sont erronées.
Moralité : pour les sujets complexes, rien ne vaut un vrai expert humain.
3. Les biais dans les réponses : un héritage problématique
ChatGPT a été entraîné sur des tonnes de textes issus d’Internet, mais Internet, c’est loin d’être un monde parfait. Beaucoup de textes disponibles sont produits par des hommes, et avec ça viennent souvent des biais sexistes, racistes, ou condescendants envers certaines minorités.
Par exemple, si tu lui demandes de décrire le « profil idéal » pour un métier, il pourrait, sans le vouloir, amplifier les stéréotypes en se basant sur les données qu’il a apprises. Ça veut dire qu’il peut te sortir des réponses biaisées, qui reflètent les injustices et préjugés qui existent déjà dans les textes qu’il a ingurgités.
Comment l’utiliser sans se planter ?
Pour éviter de tomber dans les pièges de ChatGPT, voici quelques bonnes pratiques :
Vérifie toujours les infos : Ne prends jamais pour argent comptant ce qu’il te dit, surtout si ça concerne des faits ou des chiffres précis.
Utilise-le comme assistant, pas comme expert. C’est parfait pour générer des idées ou une première ébauche, mais pas pour remplacer ta réflexion ou tes recherches.
Sois critique sur les biais : Relis attentivement les réponses pour t’assurer qu’elles ne reproduisent pas de stéréotypes ou de préjugés.
Conclusion : Un allié (presque) parfait pour le rédacteur web
En résumé, ChatGPT est un outil hyper pratique qui peut t’aider à gagner du temps, booster ta créativité, et t’accompagner dans la rédaction de nombreux contenus. Mais il reste une machine : il faut l’utiliser avec discernement et surtout avec un bon sens critique.
N’oublie jamais que c’est toi le boss : c’est à toi de vérifier, de peaufiner et de faire en sorte que ton contenu soit crédible, pertinent et exempt de tout biais.
Bref, ChatGPT, c’est un peu comme une voiture avec un super GPS : il te guide, mais c’est toi qui tiens le volant !
Vous êtes vous déjà demandé comment fonctionnait cette tentaculaire toile qu’est Internet ?
Internet est un regroupement de réseaux, nommé World Wide Web. Chaque ordinateur qui se connecte à Internet reçoit de son fournisseur d’accés à Internet une adresse IP (Free, SFR, Orange, OVH…) afin de pouvoir recevoir des informations d’autres ordinateurs. Par ailleurs, pour que cette mise en relation ait lieu, les ordinateurs doivent utiliser le même protocole de langage.
Un certain nombre de règles de communication permettent le fonctionnement d’Internet, regroupées sous le protocole TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol). Ainsi, les usages que vous faites du réseau sont définit dans la couche d’application du TCP/IP.
Aussi, en fonction de ce que vous souhaitez faire, un protocole différent sera utilisé :
Navigation : HTTPS (HyperText Transfer Protocol Secure)
Transfert de fichier: FTP (File Transfer Protocol)
Envoi de mail : IMAP (Internet Message Access Protocol) / SMTP(Simple Mail Transfer Protocol) / POP(Post Office Protocol)
Chat et messagerie instantanée : IRC (Internet Relay Chat)
Connexion à distance sécurisée : SSH
Recherche de correspondance entre noms et adresses IP : DNS
… et de nombreux autres
Parce qu’une série de chiffres n’est pas très compréhensible, le nom de domaine a été crée pour associer un nom à une IP. C’est donc au DNS (Domain Name System) de faire ce travail d’association.
IP : coordonnées GPS
Nom de domaine : adresse
Pour conclure, connaitre le fonctionnement d’Internet, c’est mieux comprendre ses différents mécanismes et le rôle de chaque intervenant. Vous pourrez ainsi faire des choix techniques plus judicieux.
Le référencement naturel ou plus communément le SEO (Search Engine Optimization) est un ensemble de méthodes, outils et techniques qui, travaillés globalement et régulièrement, vous aident à améliorer la visibilité de votre site web et à générer du trafic.
Le référencement naturel est incontournable pour toute société souhaitant augmenter le nombre de visiteurs et développer son chiffre d’affaire via internet.Il est donc idéal de l’intégrer au plus tôt dans votre stratégie, en amont de la création de votre site.
Le référencement naturel est le fait de faire figurer son site internet dans les moteurs de recherche et ainsi de le faire connaitre. Le but étant de figurer parmi les premiers sites répertoriés pour une requête donnée.
Nous ne pouvons pas évoquer le référencement sans parler brièvement de Google, parce que l’idée est bien là, vous aidez à faire de Google votre ami le plus cher. En effet, plus de 90% des recherches sur internet en France et en Europe s’effectue via le moteur de recherche de Google (94% de part de marché en France). Ainsi, les critères de référencement de Google sont prioritairement visés par les sites internet qui veulent augmenter leur visibilité.
4 notions importantes pour une optimisation de votre référencement
L’importance de la sémantique : la nécessité d’utiliser les nouvelles balises HTML5 n’est plus à démontrer.
L’optimisation du contenu : votre choix de mot doit être pertinent afin d’anticiper la recherche que fera l’internaute.
L’optimisation technique : le site sera mieux référencé s’il est sur un serveur sécurisé (https) et que le site est responsive.
Certaines choses sont considérées comme abusives par Google
Les contenus des sites Web devraient être présentés de manière identique aux robots d’indexation et aux internautes. Il est par exemple interdit d’avoir recours aux pratiques suivantes :
Utilisation d’un texte blanc sur fond blanc ;
Placement d’un texte derrière une image ;
Utilisation de CSS pour positionner du texte en dehors de l’écran ;
Définition de la taille de la police sur 0 ;
Dissimulation d’un lien en ne le faisant porter que sur un seul caractère de petite taille (un trait d’union au milieu d’un paragraphe, par exemple).
Les étapes clés pour préparer le référencement naturel
Recenser les contenus qui nécessitent une amélioration ;
Déterminer à l’aide des personas les contenus susceptibles de créer du trafic et définir un planning de publication pour l’année à venir ;
Améliorer le contenu existant (code sémantique, meta data…) ;
Suivre l’évolution du trafic généré par les nouvelles publications/optimisation.
Une multitude de plugin pour vous aider dans votre référencement
Sur WordPress il est facile d’améliorer le référencement avec l’un des nombreux plugin SEO (on vous conseille WordPress Yoast).
Par ailleurs, autoriser le partage d’une de vos pages par l’internaute sur les réseaux sociaux permet d’améliorer la réputation de votre site.
Que faut-il retenir ?
Le positionnement dans le moteur de recherche dépend essentiellement de 2 éléments, de la qualité de votre contenu et de la renommée de votre site (nombre de lien entrant et réputation des sites qui pointent vers le votre).
Utiliser les suggestions de Google pour trouver les requêtes les plus utilisées par l’internaute sur un sujet donné.
Utiliser Google Trends pour savoir, parmi deux expressions, laquelle est la plus utilisée par les internautes.
Optimiser le référencement passe d’abord par une étude de l’existant. Les statistiques sont vos alliés.
Les moteurs de recherche scannent régulièrement votre site à l’affut de mises à jour. Un site qui n’évolue pas voit son positionnement se dégrader au profit de sites avec du contenu plus récent. Il est donc conseillé de publier régulièrement.
L’utilisation des personas peut vous permettre de comprendre votre auditoire et de trouver des idées de contenu à publier.
WordPress est un CMS (outil de gestion de contenu).
Pour l’éditeur c’est un outil qui permet de gérer le contenu de son site internet ;
Pour le développeur, c’est un outil qui permet de concevoir des sites internet dont la gestion est confiée à l’éditeur.
Dans une nouvelle installation de WordPress, il y a plusieurs thèmes préinstallés ; aucun de ces thèmes ne vous démarquera et n’est adapté à votre besoin. Il faut donc, dans un premier temps, organiser les contenus de votre site, afin de choisir ou faire développer un thème au design et aux fonctionnalités adaptées.
Utilisateur, oui ! Mais lequel ?
Les utilisateurs sont les personnes autorisées par le propriétaire/administrateur du site à se connecter à WordPress, à accéder au contenu, et à publier/configurer le site selon le rôle qui leur a été attribué.
Il y a plusieurs rôles, classés par ordre d’importance. Chaque rôle a des pouvoirs différents. Pour éviter de donner trop de pouvoir aux utilisateurs, il convient d’affiner la distribution des rôles afin de ne pas complexifier l’interface et ainsi éviter tout risque de dérèglement de la configuration du site.
Par ordre croissant d’importance, on retrouve :
L’internaute : sans droit, il peut consulter tous les contenus qui sont publics (certains articles sont privés, ils sont protégés par un mot de passe).
L’abonné : il a accès, en plus du contenu publié, au contenu privé. Il peut commenter les articles publiés (mais sans jamais pouvoir ni modifier, ni supprimer).
Le contributeur : il écrit des articles mais ne peut pas les publier, une demande de publication est envoyée à l’éditeur/administrateur.
L’auteur : il écrit, publie et gère ses articles. Il ne peut pas publier ou gérer les articles d’autres auteurs, il ne peut pas créer de catégorie ou de page.
L’éditeur : Véritable rédac’chef, il peut gérer les publications de tous les utilisateurs précités. Il a en plus accès à la configuration éditoriale (menu, widgets, newsletter…).
L’administrateur : il détient les pleins pouvoirs. Il peut effectuer toutes les modifications possibles (installer les plugins, gérer les thèmes, les utilisateurs…). Sans conteste, le Batman des utilisateurs !